Les Guépards locaux entraînés par Moussa Latoundji ont de nouveau échoué au premier tour préliminaire du CHAN 2025. Tout est habituel, surtout avec le sélectionneur.
C’est une situation habituelle de voir le Bénin sortir des compétitions dès les phases éliminatoires. Mais dernièrement les choses semblent de moins en moins encourageantes. Ce samedi soir, l’équipe nationale locale a échoué face au Togo. Cet échec défaite se dessinait déjà depuis le match aller. C’est encore et surtout moins surprenant pour tous les supporters Béninois dont la confiance en Moussa Latoundji, sélectionneur de l’équipe, reste à démontrer. Chaque année et à chaque échec ont répète les mêmes histoires.Pour certains Béninois, la Fédération pourrait passer pour une association de personnes qui ne prennent pas le travail au sérieux. Outre les reproches habituelles faites à celle-ci, le problème du sélectionneur prime.
Au fil du temps Moussa Latoundji passe d »un échec à un autre. L’ancien Écureuil est à la tête de cette sélection depuis plusieurs années mais fait toujours objet de critiques radicaux. Pour ce nouveau coup il ne fait aucun doute qu’il soit tenu comme principale cause de l’échec cuisant face au Togo. On lui reproche son manque d’identité de jeu. Jamais l’équipe locale du Bénin n’a fait preuve d’un travail organisé et prometteur. Même avec les joueurs les plus talentueux, ce sélectionneur présente un bilan pire que tout autres au Bénin. Depuis sa nomination en 2018, c’est quatre défaites et deux matchs nuls avec un seul but marqué contre huit concédés. Avec ce bilan sans victoire l’homme déplore toujours le manque de qualité de ses joueurs.
Il est clair aujourd’hui qu’en maintenant un entraîneur comme Moussa Latoundji à la tête d’une sélection la Fédération Béninoise de football fait un pari hautement risqué. Il a puet-être besoin d’expérience, et cela ne doit se faire avec les équipes nationales. Le mieux pour lui qui aime tant le Bénin serait de chercher à progresser et prouver dans un environnement différent de l’équipe nationale.
Paterne Goudou